jeudi 17 novembre 2011

C'est gratuit, c'est trop nul !


On dit souvent que les publics sont moins respectueux d'une chose gratuite que d'une chose payante.

Cette idée, très certainement validée par des études de haut vol, sert de temps en temps à justifier les tarifs proposés dans la culture ou dans plein d'autres domaines où la question de la gratuité existe (notamment lorsque le service est public et donc en partie ou totalement "payable" par des impôts).

Or je me demande si l'on ne généralise pas un peu vite !